En photographiant ce chien qui
attendait sagement ses maîtres sur le pas de la porte, il m'est
revenu à l'esprit ces vers de Pierre Ménanteau :
« S'il était le plus laid de
tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore à cause de ses
yeux.
Si j'étais le plus laid de tous les
vieux du monde,
L'amour luirait encore dans le fond de
ses yeux.
Et nous serions tous deux, lui si laid,
moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde à cause de
ses yeux. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire