Rue Mouffetard
J'adore me balader dans Paris, à la découverte de ces petits quartiers
pittoresques qui font le charme de la Capitale.
Avant le grand rush touristique de la saison estivale, nous avons trainé nos guêtres dans le coin de la Rue
Mouffetard, dans le 5e arrondissement. A cette période de l'année,
Paris n'est pas encore véritablement pris d'assaut par les touristes
et les balades au long des rues sont encore synonymes de détente et
de flânerie.
Ce quartier a quelque chose de particulier, on a l'impression que le temps s'y est arrêté et sonne comme un appel à la nonchalance.
La place de la Contre-Escarpe est un havre de paix. Autour de l'église Saint-Jacques, quelques mots gravés dans le marbre rappellent ici et là le sacrifice de Résistants héroïques dans le Paris occupé. Les bistrots, les petits restaurants et les vitrines au charme désuet projettent dans la rue Mouffetard des images de vacances tranquilles. Plus bas, le soleil aidant, le marché aux fruits et légumes de la place Saint-Médard prend des accents méditerranéens.
Bref, c'est le Paris que j'aime, le Paris qui sait prendre son temps, celui des violoneux et des artistes en quête d'inspiration... et, pour le photographe, c'est le Paris éternel, celui où, à chaque coin de rue, on s'attend à voir surgir Doisneau et son boitier magique...
Ce quartier a quelque chose de particulier, on a l'impression que le temps s'y est arrêté et sonne comme un appel à la nonchalance.
La place de la Contre-Escarpe est un havre de paix. Autour de l'église Saint-Jacques, quelques mots gravés dans le marbre rappellent ici et là le sacrifice de Résistants héroïques dans le Paris occupé. Les bistrots, les petits restaurants et les vitrines au charme désuet projettent dans la rue Mouffetard des images de vacances tranquilles. Plus bas, le soleil aidant, le marché aux fruits et légumes de la place Saint-Médard prend des accents méditerranéens.
Bref, c'est le Paris que j'aime, le Paris qui sait prendre son temps, celui des violoneux et des artistes en quête d'inspiration... et, pour le photographe, c'est le Paris éternel, celui où, à chaque coin de rue, on s'attend à voir surgir Doisneau et son boitier magique...
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